Baudouin PIRE

J'ai connu Baudoin en Mauritanie. Un grand homme, un grand coeur plein d'humanisme, de joie, de passion de vivre.

Repose en paix

Cher Baudoin. Jamais je ne pourrai t'oublier. Je t'entends encore déclamer sur la grande dune de Niamey à l'occasion de l'anniversaire surprise de ma mère : "Nous aurions pu être 500 voire 5000. Mais, nous sommes 50, la quintessence de Niamey". Toi, tu étais la quintessence de la générosité, de la joie de vivre, ...". Tu extériorisais ta fierté d'avoir de tels fils... Que la terre te soit légère ! Toute mon amitié à vous ses fils, petits-enfants, famille et amis...

bon voyage mon ami et à bientôt là-haut
que ta joie de vivre
demeure dans nos cœurs
en attendant

Cher Baudouin,

Comme beaucoup d'autres, tu me manques déjà. Nous ne nous voyions pas souvent... mais à chaque fois, c'était comme si je t'avais vu la veille. Il dégageait de toi une telle chaleur humaine, une telle "foi" dans l'humanité que cela en était touchant... et contagieux.
Ton rire, ton regard qui cherchait à transpercer les carapaces, ta façon de porter un toast à la vie...sont à jamais gravés dans ma mémoire.
Merci encore pour tous les très bons moments partagés... La dernière fois, j'ai eu la chance de goûter aux délicieux vins produits par tes fils... Tu nous a dis, à Yves et moi, combien tu avais eu une belle vie. Tu nous invitais déjà dans la maison que tu voulais aménager pour te rapprocher des tes fils.

Les Fêtes de Wallonie ne seront plus jamais pareilles.

Guillaume et Adrien (je ne vous ai vu qu'en fois, vous étiez de très jeunes adolescents) vous avez eu un père hors du commun, généreux et aimant. Il restera vivant dans le coeur de ceux qui ont eu la chance de le rencontrer.

Fanfan

Bonjour Adrien et Guillaume,

nous ne nous connaissons pas, mais j'ai très bien connu votre père à Gembloux en 1969-74 et nous étions devenus très amis, puis la vie nous a éloignées, lui en Afrique, moi en France, mais les rencontres, épisodiques mais toujours chaleureuses (c'était une grande qualité de Beaudouin), ont permis de garder le contact. A la dernière réunion des anciens de la promotion 1974 à Gembloux en novembre dernier, Beaudouin, qui en était un des organisateurs, était hospitalisé et n'a pu être présent parmi nous. Nous l'avons beaucoup regretté.

Croyez bien que Beaudouin Pire restera dans ma mémoire comme un vrai ami.


Luc Manil

Baudouin...
Ami au coeur tendre et à la générosité sans limites. Amoureux de la Vie et de sa Beauté. Fier de ses fils, de ses petits enfants dont il parlait à chaque rencontre. Tu restes vivant tel un rayon de soleil dans nos coeurs et penser à toi donne toujours le sourire. Merci pour cela, Beaudouin.
L'Univers se trouve enrichi d'une belle âme.
Toute mon Amitié aux tiens, à tes proches.

Une tendre pensée à notre ami Baudoin et sa famille.

Nous vous embrassons fort

Sahra, Valou, Greg, Patricia et Olivier, du Niger ... et du Chesnay ...

C'est avec une profonde émotion que je viens d'apprendre la disparition de Baudoin, collègue et ami de travail à BDPA Paris.
Je me souviens notamment d'une mission que nous avions faite conjointement en Mauritanie et pendant laquelle sa bonne humeur, sa joie de vivre et sa passion pour les voitures avaient éclairé notre séjour.
Dans ce moment douloureux, je prends une vive part à votre chagrin et vous prie de bien vouloir accepter, mes très sincères condoléances.
Guy Brisson

J'ai du mal a trouver les mots qui décrivent Baudoin. Baudoin habitait une pièce avec tant d’énergie qu'on ne pouvait pas l'oublier une fois rencontre. C’était mon voisin d'en face, rue des Dallols, quartier Château 1 a Niamey. Il nous accueillis, mon mari et moi, fraîchement débarqués au Niger, avec un bon repas de midi (une sole, je me souviens), puis il a bricolé avec un enthousiasme débordant un raccord entre son générateur et notre tableau électrique, pour que "la p'tite dame n'ait jamais chaud," un moment de gentillesse et de partage que je n'oublierai pas.

Qu'il soit en paix maintenant.

J'ai du mal a trouver les mots qui décrivent Baudoin. Baudoin habitait une pièce avec tant d’énergie qu'on ne pouvait pas l'oublier une fois rencontre. C’était mon voisin d'en face, rue des Dallols, quartier Château 1 a Niamey. Il nous accueillis, mon mari et moi, fraîchement débarqués au Niger, avec un bon repas de midi (une sole, je me souviens), puis il a bricolé avec un enthousiasme débordant un raccord entre son générateur et notre tableau électrique, pour que "la p'tite dame n'ait jamais chaud," un moment de gentillesse et de partage que je n'oublierai pas.

Qu'il soit en paix maintenant.