Camille WILLEME

Je suis très désolé d’avoir appris aussi tardivement le triste et le très pénible sort de Camille. Il sera resté un ami fidèle depuis 45 ans que nous nous connaissions. Notre parcours estudiantin a été équivalent depuis les facultés à Namur. Nos voies professionnelles ont divergés ensuite et nous ont séparés géographiquement. Tous les ans nous nous écrivions régulièrement. Ce qui me permettait de d’avoir quelques nouvelles du pays et de l’évolution du contexte de notre métier. A l’occasion, je passais de temps en temps. L’inverse n’a jamais été le cas. Trop capté que Camille était par ses diverses activités. Jamais de vacances, ni de liberté ! Il semblait fier et heureux de son choix.
La famille aura été décimée en quelques années. J’en suis très triste pour vous tous.
L’annonce de sa maladie m’avait sidéré au mois de janvier. Je ne pensais pas qu’en un an il aurait pu être emporté.
Recevez tous mes sincères condoléances

Dans l'impossibilité de rendre visite et d'assister aux obsèques,
nous sommes de tout cœur avec vous en ces pénibles moments.
Nous vous présentons nos sincères condoléances et vous souhaitons bon courage.

Christiane Fassotte est mon amie. Je sais comme ces dernières semaines ont été éprouvantes pour vous. Reposez en paix Camille. Gros bisous à la famille. Maintenant commence un deuil difficile... mais la souffrance n'est pas la vie... de tout coeur avec vous et une pensée spéciale pour Christiane et Denise!