Jeannine DARDENNE

Maman.

Née à Ere le premier avril 1927, fille unique de Maurice Dardenne et de Jeanne Lucas.
Vie professionnelle : au trois Suisses, ensuite correction des pronostics Prior avec sa belle-sœur Marcelle et son amie Christiane avec lesquelles elle travailla jusqu’à la fermeture.
Touchée par le décès de son mari Raymond Destrebecq en 1993 suite à un cancer, elle s’occupa de son pére jusqu’au décé de celui-ci en 1994 et fut frappée à son tour par une méningite en 1995.
Hospitalisée en soins intensifs et suite au traitement, elle dut subir une intervention cardiaque pour sortir finalement après 3 mois de soins, elle repri petit à petit une vie normale accompagnée d’un suivi médical adapté.
Depuis lors elle poursuivit sa vie suivant sa foi et ses principes, toujours disponible et heureuse de pouvoir rendre service aux autres dans la mesure de ses possibilités.
Malheureusement avec l’âge, ses capacités diminuant progressivement, son plus grand regret fut de ne plus être en mesure de nous aider et de se sentir inutile.
Elle dut à regret accepter les aides extérieures pour devenir de moins en moins autonome tout en voulant rester chez elle, dans sa maison avec ses souvenirs et ses habitudes, entourée de ses amies.
Elle s’est malheureusement éteinte ce 13 Janvier à deux mois de ses 90 ans, suite à une pneumonie et à une faiblesse grandissante.
Nous la remercions tous d’avoir été pendant toutes ses années une mère et une grand-mère aimante et une amie disponible                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                 à qui nous penserons et dont nous ressentons déjà avec regret l’absence.