Jacques STEIVER

Cher cousin Jacky,

C'est seulement aujourd'hui que je prends connaissance de ta disparition. Je ne t'avais plus vu depuis l'enterrement de ton père, mon cher parrain Joseph, que j'aimais tant.

Les circonstances de la vie ont fait que depuis le début des années 2000, j'ai fait le tour du monde, mais je n'ai pas pris la peine de faire les 150 km qui séparent Bastogne (où j'ai tant de bons souvenirs de jeunesse) de Bruxelles. Je le regrette d'autant plus que je viens seulement d'apprendre que ta maman Jeanne et ton beau-frère François sont aussi passés de l'autre côté du miroir. Beaucoup de très mauvaises nouvelles en une seule fois.

Jacky,je garderai le souvenir de ta présence joviale et chaleureuse. J'espère que là où tu es, il y a moyen de boire un bon coup et de s'amuser. Et si tu vois ta marraine, ma maman Laure, fais-lui la bise de ma part.

Attends-moi, je finirai bien par arriver,

Ton cousin Christian

Jacques,
On se connaissait depuis notre tendre jeunesse, et avons, par hasard, suivi un chemin semblable.
Même si on ne s'apercevait que de temps en temps, tu me manqueras, à moi et à beaucoup!
Baudouin