Renée DECLEVES

bobonne (c'est comme ça que je t'appelais),
J'ai bien souvent pensé à ce petit coup de klaxon quand je venais te déposer ton journal et ton courrier. C'était une autre époque. Je ne pourrais malheureusement pas assister à tes funérailles. Je profites de ce petit mot pour présenter mes Condoléances à ta famille et leur souhaiter de trouver le courage nécessaire pour affronter cette épreuve.
L'afant (c'est comme que tu m'appelais)

Vous presentent à toutes la famille les sincères condoléances.
(Je pense que vous étiez une amie à notre mémère disparue Marguerite Talon -Durez qui habitait aussi à la rue du Coron à la ferme.