Marc CRUTZEN à : avis de décès

Marc CRUTZEN

62 ans

12/06/1949
28/09/2011

Avis de décès

(2)
  • Epoux de Marie-Christine Fayt

    Père de Célia Crutzen et Magali Crutzen

    Beau-père de Clément Darriulat et Alexandre Odent

    Grand-père de Augustin Darriulat et Valentin Odent

    Fils de Françoise Debois

    Frère de Bruno, Benoit, Christine, Vincent et Joëlle Crutzen

    Parrain de Vincent, Virginie, Johana et Corentin

     

    Né le 12 juin 1949 à Dison, et décédé à 62 ans, le 28 septembre 2011 à Bruxelles, entouré de l'affection des siens.

     

    Certes tu n’étais pas l’homme des chichis et des grands discours, tu étais un homme simple, un homme d’actes. Tes modèles étaient St Thérèse et St Bernadette et tes grands hommes l’Abbé Pierre et le Dalaï Lama, c’est dire ! …

    Laisse nous ce plaisir de parler encore un peu de l’époux, du père, de l’ami, du collègue, … que tu étais.

    Depuis plus de 40 ans à l’UCL, Ingénieur- chimiste, tu organisais et encadrais les labos de chimie des étudiants de médecine, dentisterie et sciences biomédicales. A l’hôpital, plusieurs générations de médecins se souviennent encore de ton professionnalisme, de ta rigueur, mais aussi et peut être surtout de ta disponibilité, de tes capacités illimitées d’accueil et d’écoute.

    Tes passions étaient multiples. Musicien à tes heures, tu étais grand amateur de musique classique, mais tu ne détestais pas un bon vieux rock, un « credence » par exemple. Tu aimais particulièrement la nature jusque dans le labo, où résonne encore les chants d’oiseaux. Epris de la beauté des montagnes, tu étais féru de randonnées. Tu avais la main verte : pour preuve la photo du jardin de la rue du Beffroi qui ornait ta dernière chambre.

    La grande affaire de ta vie a été le travail du bois : tu réalisais de magnifiques meubles.

    Tu as toujours été une personne généreuse, attentionnée et toujours à l’écoute de tes proches. Dès ton plus jeune âge, tu t’es occupé de tes frères et sœurs comme un second père. Tu as ensuite été très présent et attentif pour tes filles. A ton plus grand regret et celui de Célia et Magali, tu n’auras malheureusement pas eu le temps de voir grandir tes petits-fils, Augustin et Valentin. Pourtant, tu avais déjà de nombreux projets de confection de jouets. Les connaître l’espace de quelques semaines aura été ta dernière joie.

    On ne peut pas ici, passer sous silence le courage avec lequel tu as abordé la maladie, la bonne humeur, les petits mots gentils, le souci des autres qui furent encore les tiens jusqu’à ton dernier jour et je me permets d'ailleurs de rappeler en ton nom le dernier message que tu nous as donné : "Surtout profitez de chaque minute de votre vie dans l’Amour qui sous entend tout : paix, patience, tolérance, miséricorde, … et écartez tout ce qui peut contrecarrer votre quiétude !"

    Tu nous manque déjà terriblement,...On t'aime très fort

Condoléances