José BOULANGER à Ottignies: avis de décès

José BOULANGER

81 ans

18/09/1928
Paliseul
30/04/2010
Ottignies
Chaumont-Gistoux

Avis de décès

(3)
  • "Ce matin l’annonce de son décès fait dérouler en moi tous les moments extraordinaires passés avec lui et sa famille. J’avais avec lui une relation professionnelle extraordinaire, il m’a beaucoup soutenu dans le développement médical des CSL et sur le plan personnel. Mon amitié pour lui était profonde et j’ai toujours apprécié chez lui son humour, son intelligence, sa philosophie de la vie , son effacement personnel, sa bonté et son respect des gens."

     

    "Il avait quitté l'institution depuis pas mal de temps, mais son image m'est
    encore aussi présente que s'il nous avait quitté hier. j'en garde toujours
    le souvenir d'un homme qui écoutait, d'une belle âme, d'un confrère sur qui on pouvait compter."

     

    "Je regrette de ne pas pu être présent parmi vous pour un dernier hommage à l’homme qui me laissera toujours un souvenir inoubliable et que je garderai un total respect pour sa mémoire."

     


    "Je n’ai pas eu l’occasion de le côtoyer directement puisqu’il était retraité au moment où la fusion des services de médecine interne d’Arlon et de Virton a été effective mais je n’oublie pas qu’en tant que 1er interniste sur la place d’Arlon , il a été le précurseur d’un service qui compte actuellement pas moins de 29 membres."

     

    "’il est un des aînés qui est resté dans mon souvenir depuis son départ, c’est bien lui. Ton père était de ceux qui ont toujours cru que l’avenir de la Clinique Saint Joseph méritait qu’on s’y intéresse. Discret, toujours aimable et attentif, il a été l’un de ceux qui ont voulu le renouveau de cet hôpital ou tu exerces aujourd’hui.Cela fait sans doute pour toi partie de ton quotidien mais bien peu aujourd’hui se souviennent du rôle de José dans le déclenchement d’un long processus qui a mené à l’hôpital d’aujourd’hui.

    A la nouvelle de son décès, je pense à ta Maman et à toi et souhaite vous assurer de la part de Claudine et de moi-même, de l’émotion sincère qui nous étreint à la lecture de cette triste nouvelle."

     

    "Je suis attristé de cette nouvelle. j'ai connu ton papa pendant notre jeunesse à titre privé et professionnellement lors de mon stage à Arlon, je l'appréciais beaucoup."

    "Même s’il était âgé et malade, perdre son père est toujours une des épreuves douloureuses de la vie. C’est sans doute la dernière part de notre enfance qui s’envole. Je garderai de ton papa que j’ai eu comme maître de stage en doctorat, l’image d’une personne affable et bienveillante, proche de ses malades."

     

    "Du plus profond de mon être, je ressens le vide qui est le tien.
    Un être cher est et reste toujours présent."

    "Je garderai un excellent souvenir  de ton papa et tout particulièrement de sa gentillesse, de son humour et  de son ouverture aux plus jeunes dont je faisais partie à cette époque. Sa présence toujours bienveillante lors des réunions du CREMEC ainsi que ses fréquentes et toujours très courtoises visites au laboratoire resteront longtemps encore dans mon souvenir."

     

    "Ton papa avait soigné mon grand-père pour son infar à la demande de Charles Lambert.
    A l'époque, tout se faisait encore à domicile.  C'était en 1968. 
    J'avais 13 ans et je me souviendrai toujours… cet épisode n'a pas été étranger à mon choix de faire la médecine.
    C'est une "bonne figure" d'Arlon qui disparaît.  Avec lui, et quelques autres, tout un monde aussi.
    Permets-moi de partager ta peine"

     

    "ton papa est une des rares personnes que j’admire et respecte"

     

     

     

     

     

Condoléances